« Parler aide à faire la paix avec soi-même »

le 23/09/2015 / Un jour, j’ai pris part à un groupe de paroles, dans une association. Ça m’a aidée à me sentir moins bancale et à mettre des mots sur mes maux.
le 23/09/2015 / Un jour, j’ai pris part à un groupe de paroles, dans une association. Ça m’a aidée à me sentir moins bancale et à mettre des mots sur mes maux.
Ces recommandations portent sur l’inceste, soit les maltraitances sexuelles envers un mineur, au sein de sa « famille », telles que définies par la loi du 8 février 2010. Ce choix est guidé par le contexte particulier
21 janvier 2021 « Elle est peut-être aussi la première victime de notre père. Et les notions de consentement, de protéger l’agresseur… ça n’existe pas quand on vit l’inceste. On est dedans, c’est tout.
14 JANVIER 2021/ Pour Sonia, le meilleur remède reste de s’exprimer: »Les groupes de parole m’ont fait un bien fou »
Exprimer un consentement devant un juge, après avoir été informé des conséquences de son choix, dans le cadre d’une procédure orientée dans son intérêt de l’enfant ne peut être comparé au fait de donner un « consentement » à un acte sexuel avec un adulte.
La création d’une infraction autonome établissant deux infractions : un nouveau délit et un nouveau crime spécifiques aux actes sexuels sur des mineurs de 15 ans – ou sur des mineurs jusqu’à 18 ans en cas d ‘inceste.
Aussi, se contenter de fixer un seuil d’âge à 15 ans reviendrait à considérer qu’un adolescent de 15 ans et demi pourrait consentir à son inceste, ce qui n’a aucun sens !
Un témoignage du phénomène de colonisation par l’agresseur et de la torture psychique qui en résulte