Lady Gaga – Till It Happens To You –
Till it happens to you, you don’t know
How it feels,
How it feels.
Till it happens to you, you won’t know
Till it happens to you, you don’t know
How it feels,
How it feels.
Till it happens to you, you won’t know
À la fin de l’année scolaire
Elles reviennent comme la marée
Les vacances au bord de la mer
Mais elle ne veut plus y aller
Fais pas ça
Je serai sage comme une image
Alors, pourquoi t´es pas gentil?
C´est pas juste et moi, j´ai pas l´âge
Ça va me faire mal à la vie
Raphaëlle Dormieu POSITIVR La dessinatrice Emma revient avec de nouvelles illustrations sur une problématique des plus actuelles : le consentement sexuel. De quoi réfléchir… La talentueuse Emma est de retour avec une nouvelle planche de dessins dédiés à un sujet on ne peut plus d’actualité : le consentement. En s’appuyant sur des anecdotes personnelles, l’illustratrice nous livre sa vision avisée d’une problématique sociétale particulièrement délicate. Pour ne plus légitimer ce qu’elle appelle la « culture du viol », Emma présente sa nouvelle BD intitulée « C’est pas bien, mais… ». Parce que les comportements déplacés non sollicités peuvent démarrer dès l’enfance, elle se remémore…
httpss://youtu.be/S-50iVx_yxU Pour contrer la culture du viol le consentement aux relations sexuelles « Si vous êtes capable de comprendre quand quelqu’un ne veut pas de thé, pourquoi ne le comprendriez-vous pas quand ça s’applique au sexe ? »
Une récente enquête démontre à quel point le viol reste un crime minoré, voire banalisé, au sein de la société. Par Catherine Mallaval et Virginie Ballet — 2 mars 2016 à 19:11 ÉDITO A quelques jours de la rituelle journée des droits des femmes – toujours le 8 mars -, voilà un sondage qui envoie dans l’atmosphère un écœurant parfum de clichés et d’idées erronées qu’on espérait enfin évaporé. Alors que le viol est reconnu par la loi comme un crime depuis plus de trente ans, qu’il mobilise contre lui sans relâche associations, plans gouvernementaux, campagnes, quatre Français sur dix estiment toujours que la responsabilité du…
18h04 , le 1 août 2018, modifié à 18h15 , le 1 août 2018 La dernière version de la loi contre les violences sexistes et sexuelles devrait être adoptée mercredi au grand dam des associations de défense de victimes, qui se disent déçues par le texte. C’est un texte qui fait l’unanimité chez les associations de droit de la femme et de l’enfant, mais contre lui. Le projet de loi « renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes » portée par Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat de l’égalité entre les femmes et les hommes devrait être définitivement adopté mercredi soir. Après des mois de…
“Mme Laurence Rossignol a persévéré dans sa mission de protection des enfants et obtenu gain de cause quant à sa demande d’inscription d’une fiche sur le site du ministère de la justice.
En effet à sa question écrite n°02674 publiée dans le JO Sénat du 28/12/2017 page 4666 portant sur la demande de l’état de la diffusion d’instructions à l’attention des juges aux affaires familiales et de la magistrature visant à proscrire l’utilisation du syndrome d’aliénation parentale, la réponse du Ministère de la justice publiée dans le J.O. Sénat [4] : « une note d’information a été mise en ligne ..
> Novembre 2017, page 8 Conséquence inattendue des restrictions budgétaires En France, de 60 à 80% des affaires de viol poursuivies ne sont pas examinées par les cours d’assises, où sont jugés les crimes, mais par les tribunaux correctionnels, comme des délits. Une pratique nécessaire pour lutter contre l’encombrement des assises, selon le ministère de la justice. Mais qui n’est pas sans incidence pour les victimes et pour le traitement de la récidive. En France, chaque année, 84 000 femmes et 14 000 hommes disent avoir été victimes de viol ou de tentative de viol dans les enquêtes de victimation (1). Pourtant, les cours d’assises ne prononcent…