Pour ne plus légitimer ce qu’elle appelle la « culture du viol », Emma présente sa nouvelle BD intitulée « C’est pas bien, mais… ». Parce que les comportements déplacés non sollicités peuvent démarrer dès l’enfance, elle se remémore quelques expériences personnelles assez glaçantes.
Le but ? Ouvrir les yeux sur cette invasion de l’espace intime devenu banalité… et dont les femmes sont particulièrement victimes, dès le plus jeune âge.
Regardez :






























Les dessins d’Emma ne mettront peut-être pas tout le monde d’accord, mais une chose est sûre, ils poussent à réfléchir et ouvrent au débat. Et ça, c’est le début du changement.